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 Gauillaume Tell... euh non, Says !

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AuteurMessage
Guillaume-Says




Nombre de messages : 11
Date d'inscription : 28/10/2008

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MessageSujet: Gauillaume Tell... euh non, Says !   Gauillaume Tell... euh non, Says ! EmptyMar 28 Oct - 21:29

Bonjour à toutes et à tous !

Je me présente, je suis Guillaume-Says, l'un des enfants de la Déesse Crâ. Suites aux conseils de mon ami de longue date Bat-trip, j'ai décidé de retaper mon arc et de partir à l'aventure. Conscient des graves dangers qui me guettent à chaque instant, j'ai vite oublié l'idée de partir seul.

C'est là que vous entrez en jeu, si vous le voulez bien. Accepteriez-vous de faire de moi votre compagnon d'infortune dans ce monde de brutes, où beaucoup portent atteinte à l'intégrité de leur prochain pour quelques kamas ? Si D'aventures l'aventure vous tente, vous pourrez compter sur la loyauté de mes flèches à tout instant.

Qu'en dites-vous ?
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Guillaume-Says




Nombre de messages : 11
Date d'inscription : 28/10/2008

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MessageSujet: Re: Gauillaume Tell... euh non, Says !   Gauillaume Tell... euh non, Says ! EmptyMer 5 Nov - 13:07

Légende : GS : Guillaume-says ; DC : Déesse Crâ ; DF : Déesse Féca.

Montée de sang, poussée d'adrénaline.

C'est fou comme le hasard fait bien les choses : alors que je contournais des braconniers pour échapper à leur attention, j'ai malencontreusement croisé je chemin de trois Araknes !

Seul je savais que je n'aurais aucune chance, ma découverte de Pandala risquait de vite de tourner au vinaigre, et Cha-Turday était encore loin, elle revenait du zaap neutre... Mais miracle, la voici qui surgit d'un arbre en poussant un hurlement féroce et qui atterri entre les monstres et moi ! C'est un miracle ! Ou bien tout le contraire... et si nous mourrions tous les deux ?

Hors de question, tout bonnement hors de question. J'ai vite chassé cette idée de mon esprit et pris mon arc en main. Alors que je commençais à le bander, je vidais mon esprit pour me représenter ma Flèche, celle qui m'accompagne depuis mes premiers instants. Elle apparu, fière, noble, à la pointe mortelle et acérée, nimbée de flammes argentées.

Psssssttttcht !

Elle fila plus vite que l'éclair pour se loger dans l'une des trois araknes. Je n'ose vous dire l'horreur qui s'empara de moi quand je vis le monstre avancer vers Cha-Turday malgré le trait mortel que je venais de lui décocher. Il lui en faudrait huit avant de trépasser. Huit fois trois flèches... Le doute m'éprit.

Je pense que c'est à partir de cet instant que tout sembla se dérouler au ralenti autour de moi, mais vite à la fois. Je n'étais déjà plus vraiment là. Mon esprit se focalisait sur les flèches à matérialiser et mon corps sur l'arc à bander. Je vis Cha faire des cabrioles pour échapper à ses assaillants et leur porter des coups mortels. Mais en vain, elle succomba très vite au poison que ces saletés lui inoculèrent.

C'est mon tour maintenant

Même si Cha avait pu achever la première arakne qui nous avait attaqués, les deux autres se dirigaient vers moi. Une flèche...

Je vois trouble.

Une seconde flèche.

Mes jambes vascillent et se dérobent sous mon corps

Une dernière flèche

L'ai-je seulement décochée ? Je n'en suis pas très sûr. Ce poison me dévore et paralyse de l'intérieur. Je souffre. Je ne vois plus à voir ma Flèche...



Une voix : Que fais-tu là mon Enfant ?
Guillaume-Says : Je ne sais pas, où est mon amie Cha ?
La voix : Dans le même endroit que toi, mais dans un lieu différent. Elle commence à en partir.
GS : Je veux la rejoindre !
La voix : Je crains que ce ne soit pas encore le moment, mon Enfant.
GS : "Mon enfant" ?!

Soudainement tout devint clair. J'étais mort et mon esprit délirant s'imaginait en train de dialoguer avec la Mère de tous les Crâs.

GS : Mère... Mon arc n'a pas suffit à protéger mes amis, ni même ma vie.

Le doute est là.

DC : Et ?
GS : Et je ne sais plus quoi faire.

Une douleur lancinante apparu dans ma poitrine.

DC : Peut-être n'étais-tu pas destiné à être l'un de mes enfants ?
GS : Mère ! Pourquoi dites-vous... Arg !

La douleur devint insoutenable, omniprésente. J'étais étendu sur le sol, je voyais ma Mère autour de moi, Grande et Belle, munie de son Arc Sacré. J'étais dans la foret, des animaux étaient autour de moi. Mais le doute était en moi. Je me résignais à la vérité : la Déesse avait raison, ce n'était pas ma place. La douleur se rassembla dans mon cœur, et perçante elle en sorti !

J'étais vide ! Je me sentais comme une coquille vide. Lorsque mes yeux recouvrèrent la vue, j'aperçus ma Flèche au-dessus de moi ! Je la voyais, juste devant mes yeux, mais je n'arrivais plus à me la représenter, encore moins à la matérialiser, elle était partie ! Je n'étais plus un Crâ ! Je n'étais plus rien !


DC : Va, trouve ton chemin.

Et tout disparut, j'étais seul dans le brouillard. Je ne discernais ni mon torse, ni mes jambes et encore moins le sol. Il me sembla marcher des heures, des jours, des semaines et des mois entiers... Je pensais à Cha que je n'avais pas su protéger. A ma mort que je n'avais pas su éviter. Et sans la flèche de Crâ pour bruler dans mon cœur, toute réincarnation m'était interdite. C'est alors que le décor changeât. J'étais quelque part, enfin ! A mes pieds, un blason orné d'un immense bouclier. Puis la déesse Féca m'apparut.

DF : J'ai entendu tes pleurs, âme égarée. Tes peurs et des désirs aussi.
GS : Je ne suis plus rien maintenant, vous ne devriez pas vous adresser à moi.
DF : Quel est ton plus grand remord ?
GS : Je ne sais pas.
DF : Si tu le sais.
GS : C'est... de n'avoir pu protéger.

Un bouclier se matérialisa alors dans mes mains

GS : Qu'est-ce que c'est ?
DF : A toi de me le dire ? Les objets sont vides, ils n'ont d'identité propre et ne prennent vie que par l'usage que l'on désire en faire.
GS : S'il m'était un jour possible de me réincarner, je souhaiterais l'utiliser pour protéger mes amis. Pour que jamais plus le froid de la mort ne fauche un membre de ma bien-aimée guilde !

Le bouclier brilla.

DF : Ainsi soit il ! Réincarne-toi, porte ma lumière, défends tes amis et toi-même. Porte fièrement ce bouclier, il est tiens maintenant.

Ébahi, je le vis briller de mille feu et entrer en moi. Mon intérieur recouvra la vue. Ce n'était plus une Flèche qu'il voyait mais un Bouclier.

DF : Tu dois tout oublier. Tu es l'un de mes Enfants à présent. Pars te réincarner... Ah et à présent tu ne sauras plus connu sous le nom de Guillaume-Says. Tu seras... Serapheus.


C'est ainsi que ma nouvelle épopée commença.
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